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Accueil du site > Programmes > Économie et techniques de construction > Présentations des séances > Histoire de la construction - 2010-2011 > lundi 15 mars 2010

lundi 15 mars 2010

 [1]

Les fondations

Séance coordonnée par la « Sapienza » Università di Roma, Dipartimento di storia dell’Architettura, restauro e conservazione dei beni architettonici

Cette séance portera sur la question des fondations abordées tant du point de vue du rituel que du point de vue technique. L’acte de fonder un édifice est, en effet, une des phases constructives les plus chargées symboliquement, ce dont attestent, par exemple, la cérémonie de la pose de la première pierre, comme l’usage récurrent de réemplois en fondations. C’est également une opération technique essentielle et délicate qui a préoccupé la plupart des constructeurs, pour laquelle de multiples solutions ont été recherchées et trouvées mais sur laquelle peu de travaux historiques ont été conduits jusqu’à ce jour.
Introduction de la séance

-  Daniela ESPOSITO : Introduction

- Maria Grazia D’AMELIO (Architecte, professeur d’histoire de l’architecture à la faculté d’Ingénierie de l’Université de Rome Tor Vergata) : « Fonder à Rome après le Concile de Trente : cérémonials, comptes de terrassement, chroniques et expertises » (Fondare a Roma dopo il Concilio di Trento : cerimoniali, diari di scavo, cronache e perizie). [2]

En ouverture du roman Il ponte sulla Drina, Ivo Andrić rappelle la légende de la fondation du pont qui avait suscité l’offrande à l’esprit du fleuve de deux enfants, murés vivants dans la pile centrale, pour apaiser la fureur destructive du courant. Il s’agit-là de la transposition littéraire d’un rite archaïque qui met en évidente l’importance anthropologique de l’acte de fonder, au point que l’on envisage - comme geste propitiatoire - le sacrifice ultime, humain (auquel se substituèrent au cours des siècles celui d’un animal et le dépôt d’objets de valeur dans les tranchées de fondation). Dans la tradition judéo-chrétienne, cette tradition est à nouveau perceptible dans les textes sacrés, à travers l’assimilation récurrente entre l’édifice spirituel de la foi et la construction matérielle d’un temple ou d’une église. Quelle occasion peut être plus appropriée pour rendre matérielles et visibles ces fascinantes allégories lexicales sinon l’acte de fonder un édifice sacré et, plus largement, toute bâtiment ? En fait, fonder est une action tout à la fois chargée de symbolisme et imprégnée d’une technique opérative, fruit d’un savoir séculaire. Cela explique que la cérémonie ait déjà été codifiée dans les premiers libri pontificali médiévaux et perfectionnée dans ceux qui suivirent le Concile de Trente. La pratique constructive est, elle, consignée dans les traités d’architecture et dûment déclinée en fonction des conditions géographiques.
Partant de fonds iconographiques et documentaire encore inexplorés (rôles et chroniques, comptabilités de chantiers et expertises), notre intervention entend restituer les modalités de fondation d’un édifice : des contrats d’adjudication à l’implantation, au rite de pose de la première pierre, aux techniques d’étaiement des tranchées, à l’exécution des maçonneries - souvent éloignée des prescriptions des traités - et jusqu’à leur métrage et aux contentieux qui fréquemment en découlent.

In apertura del romanzo “Il ponte sulla Drina”, Ivo Andrić narra la leggenda della fondazione del ponte che avrebbe richiesto l’offerta allo spirito del fiume di due fanciulli murati vivi nella pila centrale per sopire la furia distruttiva della corrente ; si tratta della riproposizione letteraria di un rito arcaico che evidenzia l’importanza antropologica dell’atto del fondare, a tal punto tanto da prevedere -quale gesto propiziatorio- il sacrificio estremo, quello umano (nei secoli poi sostituito dall’uccisione di animali e dalla deposizione di oggetti preziosi negli scavi di fondazione). Nella tradizione ebreica-cristiana la consuetudine rifluisce nei testi sacri, nei quali è ricorrente la similitudine tra l’edificio spirituale della fede e la costruzione materiale di un tempio o di una chiesa. Quale occasione può essere più efficace per rendere materiali e visibili queste affascinanti allegorie lessicali se non l’atto del fondare un edificio sacro e, in senso lato, tutta l’architettura ? Infatti, fondare è un’azione al contempo carica di simbolismi e pregna di una tecnica operativa che si avvale di una conoscenza sapienziale secolare : per questo la cerimonia è codificata già nei primi Libri Pontificali di epoca medievale e perfezionata in quelli post-tridentini e la pratica costruttiva è registrata nei trattati di architettura poi debitamente declinata nelle differenti condizioni geografiche.
Sulla base delle fonti iconografiche e documentarie ancora inesplorate (diari e cronache, contabilità delle fabbriche e perizie) l’intervento intende ricostruire la fondazione di un edificio, dai contratti d’appalto allo spiccato della pianta, al rito della posa della prima pietra, alle tecniche di armatura del cavo, all’esecuzioni delle fondazioni spesso non aderenti alle prescrizioni della trattatistica fino alle misure dei lavori e ai contenziosi che spesso ne derivavano.

- Giovanna BIANCHI (Archéologue, enseignante en archéologie médiévale et en archéologie du bâti à l’Université de Sienne) : « Fonder des châteaux, et églises et des monastères en campagne dans la Toscane méridionale entre IXe et le XIIIe siècle. » (Fondare castelli, chiese e monasteri nella campagna della Toscana meridionale tra IX e XIII secolo).  [3]

Le territoire envisagé dépend d’une entité géographique relativement réduite, située au sud-ouest de la Toscane et dénommée les Colline Metallifere (Monts Métallifères), aujourd’hui dépendante des provinces de Pise, Livourne et Grosseto. Le choix de cette zone a été déterminé par la possibilité de profiter d’une grande quantité de données fournies par une activité de recherche intense en archéologie médiévale qui, depuis le milieu des années 80 du siècle dernier jusqu’à ce jour, a conduit à la fouille de 14 sites, à des prospections de surface sur le territoire de 10 communes et à l’analyse des élévations conservées dans une douzaine de centres historiques mineurs. De telles investigations permettent à présent de suivre les principales évolutions que connut l’activité constructive entre le IXe et le XIVe siècle, et de développer d’importantes thématiques historiques comme la formation des villages du haut Moyen Âge, la naissance et l’essor des châteaux et des seigneuries qui s’y rattachaient ou l’étude des pouvoirs religieux épiscopaux et monastiques.
L’étude proposée se fonde sur l’analyse de nombreux cas mis au jour par les travaux archéologiques mentionnés ci-dessus, à l’intérieur d’un territoire pour lequel n’existe aucune source écrite susceptible de renseigner sur l’organisation des chantiers. Le but d’une telle étude est, dans un premier temps, de proposer une typologie des fondations, tout d’abord divisée entre architecture civile et religieuse, avec l’objectif de mettre en évidence les différences et les similitudes entre ces deux grands groupes.
La classification des fondations permettra, dans un second temps, des observations sur l’organisation des chantiers et sur les processus constructifs, de façon à restituer les divers contextes techniques qui se succédèrent entre haut et bas Moyen Âge, en relation avec les différents types de commanditaires et leurs relatives capacités financières ou volontés d’autoreprésentation.

Il territorio preso in esame è relativo ad un comprensorio geografico non molto ampio, posto a sud-ovest della Toscana e denominato Colline Metallifere, attualmente situato all’interno delle province di Pisa, Livorno e Grosseto. La scelta di quest’area è legata alla possibilità di usufruire di una notevole quantità di dati desumibili da intense attività di ricerca dell’insegnamento di Archeologia Medievale che, dalla metà degli anni Ottanta dello scorso secolo ad oggi, hanno compreso lo scavo in 14 siti, ricerche di superficie all’interno di 10 comprensori comunali e l’analisi degli elevati in 12 centri storici minori. Tali ricerche consentono oggi di seguire una diacronia dei principali eventi costruttivi compresa tra il IX ed il XIV secolo, parallela allo sviluppo di importanti tematiche storiche quali la formazione dei villaggi altomedievali, la nascita e lo sviluppo dei castelli e delle relative signorie, l’analisi dei poteri religiosi vescovili e monastici.
Lo studio si baserà sull’indagine diretta dei molti casi emersi durante le indagini archeologiche sopra menzionate, all’interno di un territorio per il quale non esistono al momento fonti scritte di qualunque tipo in grado di illuminare l’organizzazione di cantiere. Il fine di tale studio sarà quello di elaborare, in prima istanza, una classificazione dei tipi di fondazione che verrà inizialmente suddivisa per architetture civili e religiose, con l’obiettivo di individuare differenze o eventuali similitudini tra i due macro gruppi.
La classificazione delle fondazioni consentirà, in seconda istanza, di elaborare delle riflessioni connesse all’organizzazione di cantiere e alle procedure costruttive in modo da ricostruire i diversi ambienti tecnici succedutisi tra alto e basso Medioevo, anche in relazione ai differenti tipi di committenza e alle relative capacità economiche e volontà di autorappresentazione.

- Daniela ESPOSITO (Architecte, professeur à la faculté d’architecture de “Valle Giulia”, “Sapienza”, Université de Rome) : « Bene fundata est. Quelques observations sur les fondations médiévales dans la région de Rome : conception, technologie, réalisations » (Bene fundata est. Le fondazioni medievali in area romana : concezione, tecnologia, realizzazioni. Alcune osservazioni). [4]

La recherche présentée porte sur des exemples de fondations médiévales connues par des fouilles, à Rome et dans ses alentours : dans un rayon d’environ vingt à trente kilomètres autour des murs de la ville, correspondant, au bas Moyen Âge, à l’extension du districtus Urbis. En introduction à l’analyse de ces exemples, nous proposerons une brève étude des termes employés pour décrire l’acte de « fonder », en latin classique et médiéval, ainsi qu’un examen étymologique du mot « fondation ».
L’acte de fonder est déjà évoqué par Vitruve et cette description peut être complétée par d’autres témoignages, médiévaux (extraits de la Patrologie latine, de Pier de’ Crescenzi - pour les constructions rurales - ou d’autres documents romains), qui donnent de façon indirecte des informations partielles sur l’usage métaphorique et symbolique de la notion de fondation d’un édifice (cavare fundamenta) ainsi que sur les méthodes de travail en vigueur à Rome et dans sa région.
Au-delà de la référence aux sources documentaires, nous évoquerons brièvement quelques fondations du haut Moyen Âge et nous nous livrerons à une série de considérations sur des exemples concrets de fondations (entre autres : la maison avec portique du Forum de Rome, du XIIe siècle ; la Ferme de Redicicoli, du XIIIe siècle ; le portique à piliers sur le nymphaeum de la Villa des Quintili dans deux phases de construction, vers le XIIIe et le XVe siècles).
En résumé, nous envisagerons :
- la typologie des fondations médiévales (en blocs carrés de réemplois, en pierres irrégulières et, surtout, en opus caementicium, à parement visible ou coulées en tranchées, ainsi que des exemples, entre autres, de structures en contact avec la nappe phréatique, comme dans le cas du centre de Rome), et le lien existant entre le traitement de ces fondations et celui des autres parties des édifices (ce qui constitue un indice d’une conception organique de l’édification, trait commun à tous les exemples présentés pendant cette séance) ; prenant des points de comparaisons contemporains dans divers régions du Latium, autour du territoire de Rome (Tuscie et Latium méridional) ;
- les dimensions et le rapport entre l’épaisseur des fondations et celle des murs les surmontant ;
- les matériaux employés et le recours récurrent au recyclage et aux réemplois, présents aussi dans les mortiers employés pour la réalisation des fondations, des murs en élévation et les enduits.

L’ambito di ricerca riguarderà casi di fondazioni medievali rilevati in Roma e in area romana (entro un raggio di circa venti-trenta chilometri intorno alle mura della città, corrispondente, nel tardo medioevo, all’estensione del districtus Urbis).
Preliminare all’analisi dei casi di studio, sarà una breve disamina delle parole utilizzate per descrivere l’azione del “fondare” nel latino classico e medievale e un’analisi etimologica del termine “fondazione”. L’azione del fondare viene descritta già in Vitruvio ; da questo, le testimonianze medievali (Patrologia latina, Pier de’Crescenzi per le costruzioni rurali, altra documentazione riferita a casi romani) si muovono fornendo indirettamente notizie frammentarie sulla concezione metaforica e simbolica della realizzazione della fondazione di un edificio (cavare fundamenta) e sulle modalità operative in Roma e in area romana.
Oltre al riferimento alle fonti documentarie, si presentano cenni su casi altomedievali e alcune considerazioni su esempi concreti di fondazioni (fra cui : Casa con portico al Foro romano del XII secolo ; Casale di Redicicoli del XIII secolo ; portico a pilastri sul ninfeo della villa dei Quintili in due fasi costruttive, XIII e XV secolo circa). In particolare, e in sintesi, si osservano :
- la tipologia delle fondazioni medievali (in blocchi squadrati di recupero, in pietrame irregolare e, soprattutto, in opera cementizia, con paramento a faccia vista o a cavo libero e altri tipi fra cui casi in presenza di falde d’acqua come nel caso del centro di Roma), anche in rapporto con la tecnica usata per le altre parti degli edifici (indizio, questo, di una concezione organica della costruzione che accomuna tutti i casi presentati nella presente Seduta) e al confronto con casi coevi presenti in aree diverse del Lazio, intorno all’area romana (Tuscia e Lazio meridionale) ;
- le dimensioni e il rapporto tra spessore delle fondazioni e quello dei muri in elevato ;
- i materiali utilizzati e il diffuso fenomeno del riciclo e del reimpiego, presente anche nelle malte utilizzate per la realizzazione sia delle fondazioni che dei muri in elevato e degli intonaci.

- Renzo CHIOVELLI (Architecte et enseignant d’histoire de l’architecture médiévale à l’Université de la Tuscia) : « Edificare cum bonis fundamentis. Relations entre fondations et élévation dans les maçonneries “rationalisées” de la Tuscie médiévale » (Edificare cum bonis fundamentis. Relazioni tra fondazioni e alzato nelle murature razionalizzate della Tuscia medievale). [5]

Étudiant les techniques de maçonnerie spécifiques de la Tuscie médiévale, est apparue une clé de lecture régionale (« mensiochronologique ») mettant en évidence une évolution chronologique dans les dimensions des blocs employés. Cette dernière se trouve attestée également dans d’autres contextes territoriaux, surtout quand il est fait usage d’appareils réglés de pierre. En effet, après le regain d’intérêt pour les maçonneries appareillées sensible au haut Moyen Âge, une plus grande recherche de perfectionnement des chantiers constructifs se fit jour avec l’arrivée à maturité de l’art roman, passant de l’usage de blocs peu élevés et longs à un appareil de pierres de taille aux dimensions plus ou moins régulières. Mais c’est avec la reprise en main territoriale voulue par Innocent III (1198-1216) et établissant institutionnellement le territoire de Saint-Pierre en Tuscie que l’on assiste à une interprétation originale des techniques de chantier les plus modernes de l’Occident médiéval, liées à la standardisation et que fleurit, dans toute la région, l’usage de maçonneries singulières, à assises réglées - non exemptes d’effets sur le fait de construire « rationnellement » avec de bonnes fondations.
Outre une vaste recherche archivistique dans des fonds des diverses localités de la région, qui a fourni des éléments intéressants pour l’enquête, nous avons surtout cherché à interroger le monument qui s’avère être le document principal et le plus « authentique » sur lui-même. La lecture « directe » du bâti historique a été privilégiée avec une recherche de terrain, conduite de manière systématique dans toute la Tuscie, qui a permis de mettre en évidence, dans leurs particularités et leurs variantes, les influences que la technique raffinée de la maçonnerie à assises réglées a pu avoir sur la mise en œuvre des fondations.

Indagando le particolari tecniche murarie medioevali della Tuscia, è emersa una chiave di lettura regionale mensiocronologica, presente anche in altri ambiti territoriali, soprattutto nei casi in cui siano presenti apparecchiature in regolare pietra da taglio. Difatti, dopo la rinascita della muratura in opera quadrata nel corso dell’alto medioevo, compare una maggiore ricerca di perfezionamento nei cantieri edili dall’inizio del romanico maturo, passando da blocchi bassi e lunghi a un’apparecchiatura in conci di dimensioni maggiormente contenute. Ma è con il riordino territoriale voluto da Innocenzo III, che, sancendo la nascita istituzionale della provincia del Patrimonio di San Pietro in Tuscia, si assiste a un’originale interpretazione delle più moderne tecniche cantieristiche dell’Occidente medievale legate al settore della standardizzazione e fiorisce, in tutta l’area regionale, la singolare muratura a filari isometrici, non scevra di riflessi sul costruire razionalmente con buone fondazioni.
Oltre ad un’estesa ricerca archivistica nelle varie località regionali, che ha fornito interessanti contributi inediti all’indagine, si è cercato di far parlare soprattutto il monumento, quale principale e più ‘autentico’ documento di se stesso, prediligendo una lettura ‘diretta’ del costruito storico, mediante un’indagine sul campo, condotta a tappeto su tutta la Tuscia, che ha permesso d’individuare particolarità e varianti delle influenze che la raffinata tecnica muraria a filari isometrici ha avuto sulle opere fondali.


[1] Benedetto Brioscio, « Gian Galeazzo posant la première pierre de la Chartreuse de Pavie », relief du portail de l’église de la Chartreuse de Pavie (1491-1498) – Illustration tirée de P. Boucheron, Le pouvoir de bâtir. Urbanisme et politique édilitaire à Milan (XIVe-XVe siècles), Rome, 1998, pl. XXIV

[2] Éléments de bibliographie de M.G. D’Amelio :
D’Amelio M.G., « Il proprio il bello il necessario nel Colonnato di San Pietro a Roma : architettura economia cantiere », Mélanges de L’école Française de Rome. Italie Et Méditerranée, numéro thématique “L’Économie de la construction dans l’Italie moderne” , J.-F. Chauvard et L. Mocarelli, volume 119-2, p. 375-385.
D’Amelio M. G., L’obelisco marmoreo del Foro Italico a Roma. Storia, immagini e note tecniche, Rome, 2009.
D’Amelio M.G., « Building materials tools and machinery belonging to the Reverenda Fabbrica di San Pietro used for building Romae from the late 16th to the late 19th century », dans Practice and Science in Early Modern Italian Building. Towards an Epistemic History of Architecture, H. Schlimme dir., Milan, p. 125-136.
D’Amelio M.G., « Tra ossa polveri e cenere : il “fuoriasse” del baldacchino di San Pietro », Annali di architettura, Rivista del Centro Internazionale di Studi di Architettura Andrea Palladio, 17, 2005, p. 127-136.
D’Amelio M.G., « Il ruolo della Reverenda Fabbrica di San Pietro nei cantieri romani (sec. XVI-XVIII) », Römische Historische Mitteilungen des Historischen Instituts Beim Österreichischen Kulturforum in Rom, 44, 2002, p. 393-424.

[3] Éléments de bibliographie de G. Bianchi :
Bianchi G. et Francovich R., « Capanne e muri in pietra. Donoratico nell’alto medioevo », dans Il Medioevo nella provincia di Livorno. I risultati delle recenti indagini, Pise, 2006, p.105-116.
Bianchi G., « Tecniche costruttive e forme di potere nella Toscana sud-occidentale (secc.VIII-XIV) », Arqueologia dell’Arquitectura, 4-2005, p.47-60.
Bianchi G., « Archeologia dell’Architettura degli edifici religiosi rurali : il caso della Maremma settentrionale toscana (Italia) », Hortus Artium Medievalium, Journal of the International Research Center for Late Antiquity and Middle Ages, 14, 2008, p.49-64.
Bianchi G., « Costruire in pietra nella Toscana medievale. Tecniche murarie dei secoli VIII-inizio XII », Archeologia Medievale, XXXV, 2008, p.23-38.
Bianchi G. et Valenti M., « Dal legno alla pietra. Modi di costruzione e maestranze specializzate dall’Alto Medioevo al Romanico in Toscana », dans I magistri comacini. Mito e realtà del Medioevo lombardo, Atti del XIX Congresso Internazionale di Studio sull’Alto Medioevo, fondazione CISAM, Spoleto, 2009, p.635-670.

[4] Éléments de bibliographie de D. Esposito :
Esposito D., Tecniche costruttive murarie medievali. Murature a tufelli in area romana, Rome, 1998.
Esposito D. et Fiorani D. dir., Tecniche costruttive dell’edilizia storica. Conoscere per conservare, Rome, 2005, 232 p.
Esposito D., Architettura e costruzione dei casali nella Campagna Romana fra XII e XIV secolo, Rome, 2005, 268 p.
Bernard J.-F., Bernardi Ph. et Esposito D. avec la collaboration de Dillmann Ph., Foulquier L. et Mancini R. dir, Il Reimpiego in architettura. Recupero, riciclo e uso. Atti del Colloquio internazionale, Roma, 8-10 novembre 2007, Rome, 2008.
Esposito D., « Realidad de la arquitectura y técnicas constructivas de los muros medievales en Roma y en Lazio (Italia). Reflexiones sobre la recuperación del opus caementicium romano », dans Actas del Sesto Congreso Nacional de Historia de la Construcción, I, Valence, 2009, p. 415-424.

[5] Éléments de bibliographie de R. Chiovelli :
Chiovelli R., « Strumenti per il taglio della pietra nel Patrimonio di San Pietro in Tuscia », dans Il Lazio tra Antichità e Medioevo. Studi in memoria di Jean Coste,Z. Mari, M.T. Petrara et M. Sperandio dir., Rome, 1999, p. 199-213.
Chiovelli R., « Le tecniche costruttive del Duomo. Gli apparecchi murari », dans La cattedrale di Spoleto. Storia, arte, conservazione, G. Benazzi et G. Carbonara dir., Milan-Spoleto, 2002, p. 362-371.
Chiovelli R., « Per una storia della cultura dei materiali costruttivi medievali : il problema dell’interpretazione iconografica », dans Arnolfo di Cambio e la sua epoca. Costruire, scolpire, dipingere, decorare, Pardo V. Franchetti dir., Rome, 2006, p. 249-260.
Chiovelli R., Tecniche costruttive murarie medievali. La Tuscia, Rome, 2007.
Chiovelli R., « Tecniche murarie medievali a Sutri », dans Sutri nel medioevo. Storia, insediamento urbano e territorio (secoli X-XIV), M. Venditelli dir., Rome, 2008, p. 157-167.